Rubraca, dans le cancer de l’ovaire

Nouvelle molécule

Rubraca (rucaparib, Clovis Oncology) est indiqué et remboursé en monothérapie dans le traitement d’entretien de différents cancers gynécologiques.

Publié le 24 février 2020

Rubraca, dans le cancer de l’ovaire
Plus précisément, Rubraca (rucaparib, Clovis Oncology) est indiqué et remboursé en monothérapie dans le traitement d’entretien de patientes adultes atteintes d’un cancer épithélial de l’ovaire, de la trompe de Fallope ou péritonéal primitif, de haut grade, récidivant, sensible au platine, qui sont en réponse complète ou partielle à une chimiothérapie à base de platine (2ème ligne). Rubraca est indiqué mais non remboursé chez les patientes ayant une mutation du gène BRCA germinale et/ou somatique après deux lignes antérieures ou plus de chimiothérapie à base de platine et qui ne peuvent pas tolérer une autre chimiothérapie à base de platine (3ème ligne). La population cible estimée est comprise entre 1335 et 1525 patientes. Le rucaparib est un inhibiteur de PARP (enzymes poly(ADP-ribose) polymérase) qui vient s’ajouter aux deux autres déjà disponibles en ville : l’olaparib (Lynparza) et le niraparib (Zejula). La...

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