Kisqali, dans le cancer du sein

Nouvelle molécule

Kisqali (ribociclib, Novartis) est indiqué, en association avec un inhibiteur de l’aromatase, dans le traitement initial d’hormonothérapie chez les femmes ménopausées ayant un cancer du sein.

Publié le 18 avril 2019

Kisqali, dans le cancer du sein
Il est réservé au stade localement avancé ou métastatique, avec récepteurs hormonaux (RH) positifs et récepteurs du facteur de croissance épidermique humain 2 (HER2) négatifs. Kisqali est une option de traitement en 1ère ligne métastatique du cancer du sein RH+ et HER2- lors d’un diagnostic d’emblée à ce stade ou en cas de rechute tardive. La population cible estimée de Kisqali est comprise entre 1529 à 2739 patientes. Le ribociclib est un inhibiteur des protéines kinases cyclines-dépendantes 4 et 6 qui vient s’ajouter au palbociclib (Ibrance) et à l’abémaciclib (Verzenios). La dose recommandée de Kisqali est de 600 mg (3 comprimés à 200 mg) une fois par jour pendant 21 jours consécutifs suivis d’une interruption du traitement pendant 7 jours, tant que le traitement présente un bénéfice avec une toxicité acceptable. Kisqali doit être associé, durant tout le cycle de 28 jours, à 2,5 mg de létrozole ou à un autre inhibiteur de...

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