Les premières réquisitions tombent face à la grève des gardes
À peine enclenchée, la grève des gardes en officine se heurte déjà aux premières réquisitions préfectorales. Pharmaciens mobilisés, autorités sur le qui-vive : le bras de fer commence.

Une mobilisation qui ne laisse pas indifférent
À peine 24 heures après la déclaration officielle de grève des gardes, plusieurs pharmaciens ont déjà reçu des réquisitions émises par les préfectures et les Agences Régionales de Santé (ARS). Certaines réquisitions ont même été remises directement par la police ou la gendarmerie, signe d’une réaction particulièrement rapide de l’administration face à ce mouvement.
Une organisation bien huilée côté autorités
Certains professionnels témoignent de la célérité des autorités à activer le dispositif de réquisition pour garantir la continuité du service de garde. Remises en main propre ou envoyées par courrier, ces notifications rappellent que le droit de grève des pharmaciens peut être suspendu lorsque la santé publique l’exige, conformément au Code de la santé publique.
La pression administrative comme levier de mobilisation
Pour beaucoup, la réquisition rend la...
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