Les substituts nicotiniques dans le sevrage tabagique

Accompagnement

Entre 2016 et 2017, le nombre de fumeurs quotidiens a diminué d’un million : un succès qui montre l’impact positif de la mobilisation contre le tabagisme. Pour autant, il faut renforcer encore le repérage individuel systématique et insister sur l’importance de l’arrêt.

Par , publié le 04 février 2019

Les substituts nicotiniques dans le sevrage tabagique

Pour inciter au sevrage, un certain nombre de substituts nicotiniques sont pris en charge par l’assurance maladie avec pratique du tiers-payant possible lorsqu’ils sont prescrits par un médecin, une sage-femme, un chirurgien-dentiste, un infirmier ou un masseur-kinésithérapeute. Des brochures d’informations, notamment éditées par Santé publique France et le Cespharm, aident à accompagner le fumeur. La réussite du sevrage tabagique nécessite une motivation personnelle et elle est renforcée par l’accompagnement par un professionnel de santé. L’apport de nicotine est indispensable pour protéger le fumeur des signes de manque nicotinique : traitements de substitution nicotinique, cigarette électronique désormais dénommée « vaporisateur personnel ». Dosages et formes doivent être adaptés...

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